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Difficultés d’endormissement : Comment les éviter avec nos conseils
Les circonstances favorisant l’endormissement, fatigue, longue veille, chaleur, excès ou défaut de nourriture, … sont fort nombreuses et bien connues. Mais parfois s’endormir rapidement n’est pas si simple que cela. Découvrez dans les lignes qui suivent comment éviter les difficultés d’endormissement ?
Sommaire
Avez-vous des difficultés d’endormissement ?
Vous faites peut-être partie de ces personnes qui ont du mal à s’endormir. Vous vous retournez sans cesse dans votre lit dans l’espoir de trouver la bonne position pour dormir. Au moindre bruit, votre endormissement est interrompu. Ou encore, le silence de la nuit qui tombe vous empêche de vous endormir au point de vous sentir obligé de mettre un bruit de fond, une petite musique par exemple.
« J’ai moi aussi connu, à une période de ma vie, des difficultés d’endormissement et je ne savais pas comment m’y prendre. Je passais parfois plusieurs heures heures avant de trouver le sommeil et le réveil était bien difficile avec un manque d’énergie dés le matin.
J’ai essayé de nombreuses méthodes et je vous les décrit dans cet article. »
Mais avant de vous en parler, je pense qu’il est important pour vous de comprendre les différentes phases de l’endormissement.
Bien comprendre l’endormissement.
Le sommeil peut être divisé en plusieurs cycles qui se succèdent au cours de la nuit. La toute première phase d’une nuit commence par l’endormissement.
L’endormissement est caractérisé par 2 phases :
- la somnolence
- et l’assoupissement.
Pour la plupart d’entre nous, ceux qui n’ont pas de difficulté d’endormissement, ce stade d’endormissement dure moins de 10 minutes sauf en cas de troubles du sommeil ou d’anxiété.
Au début du sommeil, au stade de l’endormissement, le corps fabrique une hormone appelée la sérotonine. Cette dernière va provoquer l’état de somnolence, les bâillements et le picotement des yeux, parfois de sensation de froid et de faible activité du cerveau, de sensation de fatigue.
C’est le bon moment pour commencer une bonne nuit de sommeil, un endormissement sans difficulté. Essayer de pas trop retarder ce moment favorable à l’endormissement. C’est mon premier conseil.
Les facteurs qui conduisent à des difficultés d’endormissement
Il y a certain facteurs qui peuvent apporter des difficultés d’endormissement. Les voici :
L’anxiété et les difficultés d’endormissement
Les causes de l’insomnie sont multiples. Quand celle-ci est liée à l’anxiété, c’est un état d’hyper vigilance permanent qui ne permet pas un déroulement normal des différentes phases du sommeil (endormissement, sommeil long profond, sommeil paradoxal…) et qui conduit à des difficultés d’endormissement et des éveils nocturnes.
Difficulté d’endormissement avec les cauchemars, les sensations de « chute »
Faire des cauchemars à l’endormissement n’est pas banal. Le plus souvent, ce sont d’ailleurs plutôt des réactions très désagréables qui surviennent juste au moment de l’endormissement, avec la sensation de tomber ou d’être écrasé, et qui s’accompagnent d’un sursaut parfois très violent.
Ce n’est rien de grave, cela traduit simplement une chute du tonus musculaire importante, qui existe à l’endormissement.
Pour en savoir plus, lisez notre article sur les cauchemars.
Les habitudes couche-tard, lève-tard : le sommeil décalé avec des difficultés d’endormissement
C’est le syndrome de retard de phase. Le sommeil est normal mais complètement décalé dans le temps avec un endormissement vers 3 à 5h du matin et un réveil au-delà de 11h, parfois plus tard. Si la personne peut respecter ces horaires de sommeil, tout va bien. En revanche, si elle a des obligations le matin, le sommeil est insuffisant. Il existe donc une somnolence en cours de journée et l’humeur est exécrable.
Lire notre article sur le sommeil décalé.
Les difficultés d’endormissement chez les enfants
Les réactions des parents face au sommeil de leur enfant auront des conséquences sur leur sommeil d’adulte. Un des problèmes essentiels est comment aider l’enfant à s’endormir ? En fait, les parents doivent en faire un peu mais pas trop.
Il faut rassurer l’enfant au moment du coucher et les rituels sont donc très importants (le câlin, la petite histoire…) mais il faut ensuite se séparer de l’enfant et le laisser, pour qu’il affronte seul la nuit et son endormissement.
Lisez notre article sur les conséquences du manque de sommeil chez l’enfant.
On peut aussi utiliser les patchs sommeil Lifewave pour les enfants, comme pour les adultes.